samedi 22 novembre 2014

Visions, film sur sainte Hildegarde de Bingen, Docteur de l'Eglise

Hildegarde de Bingen (en allemand : Hildegard von Bingen), née le 16 septembre 1098 à Bermersheim vor der Höhe près de Alzey (Hesse rhénane) et morte le 17 septembre 1179 à Rupertsberg (près de Bingen), est une religieuse bénédictine mystique, compositrice et femme de lettres franconienne du XIIe siècle1.
Le 10 mai 2012, le pape Benoît XVI étend le culte liturgique de sainte Hildegarde à l'Église universelle, dans un processus connu sous le nom de « canonisation équipollente », ou canonisation équivalente. Le 28 mai 2012, Benoît XVI annonce la proclamation d'Hildegarde de Bingen comme Docteur de l'Église, qui a eu lieu le 7 octobre 20122,3, faisant d'elle la quatrième femme Docteur de l'Église après Catherine de Sienne, Thérèse d'Avila et Thérèse de Lisieux. Cette reconnaissance est la plus haute de l'Église catholique, affirmant par là même l'exemplarité de la vie mais aussi des écrits d'Hildegarde comme modèle pour tous les catholiques4,5.Source : Wikipedia

Zita, servante de Dieu et impératrice d'Autriche


Yvonne-Aimée de Jésus, une grande mystique française


Saint frère André Bessette de Montréal, apôtre de saint Joseph


vendredi 21 novembre 2014

De Bouddha et de l'occultisme au Christ:récit d'une conversion par le Père Verlinde


Éduqué dans la religion catholique, Jacques Verlinde reconnait que sa foi n'était « pas suffisamment éclairée »1 pour pouvoir résister aux critiques de l'athéisme et du structuralisme qu'il eut à affronter durant ses études universitaires. Aussi en mai 68, alors qu'il prépare une thèse en chimie nucléaire, et que la contestation contre l'institution, la religion et le « dogme » est à son paroxysme, il marque sa rupture avec l'Église en cessant toute pratique religieuse. Il s'initie à la Méditation transcendantale (MT). Après avoir terminé et soutenu sa thèse[réf. nécessaire], il devient le disciple de Maharishi Mahesh Yogi, qui réside au siège de l'Université MERU2 à Seelisbeg en Suisse alémanique, et l'accompagne dans ses déplacements. Il fait notamment un long séjour dans un ashram himalayen. Un jour, un Français se rend dans cet ashram très peu fréquenté par les occidentaux[réf. nécessaire], et engage la conversation avec Jacques Verlinde. Au cours du dialogue, il lui demande « qui Jésus-Christ est devenu pour lui aujourd'hui » ? De manière totalement inattendue, cette question suscite une « rencontre bouleversante avec le Christ ressuscité », qui permet à J. Verlinde de « faire l'expérience de sa miséricorde ». Il décide alors de revenir en Europe pour se replonger dans la religion de son enfance.
De retour en France, il cherche à faire la synthèse de sa foi chrétienne retrouvée, avec ce qu'il a appris auprès de Maharishi. C'est ainsi qu'il adhère à une école ésotérique où il est amené à développer des « pouvoirs occultes ». Il finit par découvrir que ces pouvoirs lui sont donnés par des esprits - définis par les responsables de l'école comme des « anges guérisseurs ». Mais un jour, pendant la messe, lors de l'élévation de l'Hostie consacrée, il entend ces esprits blasphémer honteusement la Présence réelle. Bouleversé, il rencontre le célébrant à la fin de la messe et lui raconte son expérience. Le prêtre ne semble pas étonné ; il s'avère être l'exorciste du diocèse.
Jacques Verlinde renonce alors à ces « pouvoirs » et entame un chemin de « guérison intérieure ». Il fait dix ans de séminaire dont six années d'études théologiques à l'Université grégorienne de Rome, et poursuit des études de philosophie à Louvain, où il obtient un doctorat.
En 1983, il est ordonné prêtre pour le diocèse de Montpellier.

Fondateur d'ordre religieux

Jacques Verlinde entre en 1991 dans la fraternité monastique de la Famille de saint Joseph et reçoit le nom de Joseph-Marie. Il est aujourd'hui Prieur de la Communauté des moines et moniales de saint Joseph, qui est implantée à Saint Joseph de Mont-Rouge, Puimisson, près de Béziers, ainsi qu'à Saint Joseph de Mont-Luzin, Chasselay près de Lyon.
En 2002, le cardinal Lustiger confiait au père Verlinde la prédication des Conférences de Carême de Notre Dame de Paris, lui demandant une réflexion apologétique sur les nouvelles religiosités véhiculées par le mouvement du Nouvel Age.
Après avoir enseigné pendant 15 ans l'épistémologie et la philosophie de la nature à l'Université Catholique de Lyon, ainsi que la théologie fondamentale au séminaire de Ars, le père Joseph-Marie prêche actuellement des retraites de lectio divina et anime des sessions de formation - entre autres dans le domaine du discernement des nouvelles religiosités et des thérapies alternatives. Il publie également sur les grandes questions sociétales contemporaines - telles que le gender, l'écologisme, l'eugénisme - afin d'aider les croyants à se forger sur ces questions une opinion qui soit cohérente avec leur foi.
En septembre 2013, son archevêque Mgr Pierre-Marie Carré, lui a confié la charge curiale de la paroisse Saint Martin de la Coquillade, comptant dix-neuf clochers, dont celui de Puimisson.
En 2011, le père Joseph-Marie et sa communauté ont entrepris la construction d'un monastère à St Joseph de Mont-Rouge (Puimisson), selon les principes architecturaux anciens de construction des abbayes cisterciennes et faisant appel aux dons à travers un vidéo-clip humoristique3,4.
Source:Wikipedia

L'abbé Suger et l'art gothique


Arnaud de Lassus, le libéralisme


Entretien avec l'abbé de Tanouarn


vendredi 14 novembre 2014

L'ile, film russe en V.O. sous-titres français

Un monastère orthodoxe sur une île du nord de la Russie. Un moine perturbe la vie de sa congrégation par son comportement étrange. En effet, selon la rumeur, l'homme posséderait le pouvoir de guérir les malades, d'exorciser les démons et de prédire l'avenir… C'est en tout cas ce que croient les étrangers qui se rendent sur l'île. Mais le moine, qui souffre d'avoir commis une terrible faute dans sa jeunesse, se considère indigne de l'intérêt qu'il suscite… Pavel Longuine analyse dans ses derniers films la mutation de la société russe, les désordres amenés par la chute de l'empire soviétique et l'arrivée brutale du libéralisme. L'île est un film contemplatif et esthétique qui puise dans son personnage principal les questions essentielles du sens de la vie : de la faute à la rédemption, du doute à la croyance, de l'absence ou de la présence divine. Cette île est l'image d'un monde malade, rongé par le mal, assoiffé de beauté.


Cristeros, version anglaise intégrale

Cristeros, version anglaise intégrale

Saint Jean-Paul II, l'Evangile de la Vie

Evangelium vitae 1

Evangelium vitae 2

Evangelium vitae 3

Evangelium vitae 4

Evangelium vitae 5


Evangelium vitae 6


Evangelium vitae 7


Evangelium vitae 8

mercredi 12 novembre 2014

RP Philippe, Homélie sur l'apparition de Jésus à saint Thomas

Homélie sur l'apparition à saint Thomas

RP Philippe, Homélie sur l'apparition de Jésus à Marie-Madeleine

Homélie sur l'apparition à Madeleine

RP Philippe, Homélie sur le fils prodigue

Homélie sur le fils prodigue

Un saint médecin, Joseph Moscato, le film


Saint Juan Diego et la Vierge de Guadalupe, film espagnol


La vie de saint Jean XXIII


mardi 11 novembre 2014

Catéchisme : les anges


Saint Patrick, film irlandais


Sainte Claire et saint François d'Assise, film italien


Saint Antoine de Padoue, film anglais


Marie de Nazareth, film en version italienne


RP Philippe, Homélie sur Luc, XIII, 1-9

Homélie sur Luc, XIII, 1-9

RP Philippe, Homélie sur Luc, XI, 29-32

Homélie sur Luc, XI, 29-32

RP Philippe, Homélie sur Luc, IX, 28-36

Homélie sur Luc, IX, 28-36

RP Philippe, Homélie sur Luc, V, 27-32

Homélie sur Luc, V, 27-32

RP Philippe, Homélie sur Luc, IV, 1-13

Homélie sur Luc, IV, 1-13

Saint Joseph de Cupertino, le moine volant, film anglais


RP Philippe,Homélie sur Matthieu, IX, 14-15

Homélie sur Matthieu, IX, 14-15

RP Philippe, Homélie sur Matthieu, VI, 7-15

Homélie sur Matthieu, VI, 7-15

RP Philippe, Homélie sur Matthieu, VI, 1-18

Homélie sur Matthieu, VI, 1-18

Sainte Joséphine Bakhita, film italien en deux parties

Film,  partie 1

Film, partie 2

Saint François Xavier, film indien en anglais


lundi 10 novembre 2014

Saint François d'Assise, film anglais


L'unique film existant sur saint Pie X, en italien


Sainte Maria Goretti, en italien


RP Boulet, Ce que l'univers nous dit de Dieu

Ce que l'univers nous dit de Dieu

RP Boulet, la place de la Voie llactée dans l'univers

La place de notre galaxie dans l'univers

RP Boulet, Le système solaire

Le système solaire

dimanche 9 novembre 2014

M.Haass, le saint docteur de Moscou


Saint Jean-Paul II, Le sens chrétien de la souffrance


Partie 1

Partie 2

Partie 3

Partie 4


Le Don Bosco de saint-Pétersbourg


L'exarque Fiodorov


Du Credo de Paul VI au catéchisme de l'Eglise catholique (1968-1992)


Anna Abrikosova, religieuse russe convertie au catholicisme



Mère Catherine Abrikossova, née Anne Ivanovna Abrikosoff1, (en russe: Анна Ивановна Абрикосова), en religion Mère Catherine de Sienne (en russe: Екатерина Сиенская), née en 1882 et morte en 1936), est une religieuse russe convertie au catholicisme qui fonda en 1912 avec un groupe de plusieurs femmes russes reçues au sein de l'Église grecque-catholique russe, une communauté de tertiaires dominicaines régulières de rite russe byzantin slave. Les dix-sept sœurs s'offrirent en victimes d'expiation pour la Russie et furent ensuite arrêtées et envoyées pour la plupart en Sibérie. Elles poursuivirent leur apostolat au camp de travail et furent fusillées après la mort de Mère Catherine.

Parcours Elle naquit dans une célèbre famille de négociants en 1882, et devient orpheline2. Elle est élevée avec ses frères par son oncle Nicolas Alexéïevitch Abrikossov. Elle va au lycée à Moscou et obtient une médaille d'or en 1899. Elle passe en 1903 le diplôme de l'Université de Girton College (Cambridge), (études d'histoire) et épouse son cousin Vladimir Vladimirovitch Abrikossov. Durant les années 1910-1905, ils voyagent en France, en Italie et en Suisse. Elle découvre le catholicisme et lit les écrits de Catherine de Sienne. Elle se convertit au catholicisme en 1907 et son époux en 1908.
Elle et son mari sont reçus dans l'Église catholique le 20 décembre 1908, à Paris. En 1910, sa maison de Moscou devient un centre de rencontres et d'amitié pour catholiques russes. Elle organise des réunions religieuses avec la participation d'intellectuels. Les deux conjoints prennent en charge les enfants pauvres dans divers établissements d'enseignement. En 1903, ils entrent dans le tiers-ordre dominicain de rite russe catholique byzantin, après avoir prononcé des vœux ; ils rencontrent le Pape Pie X en audience privée : ils devront suivre le rite oriental. Vladimir devient prêtre puis évêque, dans le Tiers-ordre. De retour à Moscou, elle organise la communauté féminine. Officiellement, le groupe de sœurs du Tiers-ordre a pris forme en 1917. Anna Abrikossov (devenue sœur Marie-Catherine de Sienne, puis mère Catherine), devient la supérieure d'un groupe constitué de cinq femmes. En 1917, Mère Catherine fait vœu de chasteté, et son époux Vladimir est ensuite sacré évêque par le métropolite Andreï Septicky. Dans leur appartement, une vie de prière s'organise, ainsi qu'une paroisse de rite byzantin consacrée à Notre-Dame-de-la-Nativité. Dans la communauté monastique, pratiques ascétiques, liturgie quotidienne de služilas rythment la journée. Elles pratiquent des activités de traduction et de catéchisme, et du travail bénévole. Malgré les temps de guerre civile et l'effondrement économique, la communauté non seulement continue d'exister, mais elle augmente numériquement. En 1921, elles sont quinze sœurs.
La première arrestation de Mère Catherine avec dix autres sœurs dont Sœur Rose Jentkiewicz3 a lieu du 12 au 16 octobre 1923 : elle est arrêtée le 12 novembre et accusée par l'OGPU d'avoir aidé la bourgeoisie internationale et d'avoir espionné. Cette arrestation a lieu quelques mois après le spectaculaire procès de Moscou de mars 1923 qui démantela la petite hiérarchie catholique de Russie4. Elle est donc condamnée en vertu des articles 61 et 66 du code criminel de la République socialiste fédérative soviétique de Russie). Mère Catherine est d'abord gardée seule dans la SEF de la Place Loubianka et, après quatre mois, est transférée à la prison de la rue Boutyrskaïa, où elle est en mesure de rencontrer les autres sœurs. Sous son influence, un adolescent, qui avait l'intention de se suicider, change d'avis. La sentence de dispersion du groupe est prononcée le 19 mai 1924. C'est la première étape d'une série de procès et de persécutions qui dureront de 1931 à 1934.
En 1922, Vladimir Abrikossoff est définitivement banni de Russie. En 1923, Mère Catherine et les autres sœurs sont déportées en Sibérie. Mère Catherine (Anna) est transférée dans les prisons de Tobolsk et d'Iaroslav. Elle tombe malade en 1932 (cancer du sein) et on fait une pétition pour demander sa libération. Libérée, elle rencontre sa sœur et un groupe de jeunes dans des réunions secrètes organisées par Camilla Krouchelnitskaïa, puis elle est à nouveau arrêtée en 1933, le 5 août, mais sa peine est commuée en cinq ans de camp de travail. Elle meurt peu après de maladie à Moscou le 23 juillet 1936 à l'hôpital de la prison de la rue Boutyrskaïa. Avant de mourir elle déclara, « le Christ désire maintenant en Russie un sacrifice individuel pour ceux qui... Soyons comme des agneaux conduits à l'abattoir ….Obéissance jusqu'à la mort sur la Croix, ensemble avec humilité — ce sont les deux vertus que je prêche à mes sœurs » . Toutes les autres victimes de ces condamnations seront fusillées sans autre jugement en novembre 1937.
Un autre procès, en 1935, concerne aussi trois dominicaines, un autre concerne cinq sœurs qui, après leur libération, s'étaient regroupées à Maloïaroslavets : arrêtées le 30 novembre 1948, elles seront de nouveau condamnées à dix ans de camp le 17 août 1949 : « Conformément à la Règle de l'ordre dominicain, l'organisation menait un travail contre-révolutionnaire. » De plus, les sœurs dominicaines, qui réussirent parfois à se retrouver dans un même camp, y formèrent des groupes pour diffuser les idées catholiques, considérées comme contre-révolutionnaires par les gardiens.
En plus de ces religieuses dominicaines5 figurent aussi des tertiaires laïques, et de nombreux fidèles proches des sœurs et des prêtres qu'elles fréquentaient, mais sans qu'on puisse déterminer une appartenance institutionnelle au Tiers-Ordre dominicain. En 1923, toutes ces sœurs avaient entre 22 et 49 ans.Son procès en béatification débute en 2005. 
Compléments:

https://www.youtube.com/watch?v=emOTlg1MYF8&feature=player_embedded


samedi 8 novembre 2014

RP Etienne Michelin, la jalousie-RCF,1999-

La jalousie

Dialogue Nicolas Buttet-Mgr Armand Maillard, Fribourg 2001

Nicolas Buttet-Mgr Armand Maillard, Fribourg 2001





Mgr Chevrot, Homélies sur saint Jean XIX,27;Phlippiens,IV,4-7:saint Jean I, 11 et XIII, 23

Homélies sur saint Jean et Philippiens

Mgr Chevrot, Homélies sur Saint Luc, XV, 9 et Romains, XII, 21

Saint Luc, XV, 9 et Romains, XII, 21

Mgr Chevrot, Homélies sur Colossiens III, 2 et Jacques I, 21

Colossiens III, 2 et Jacques I, 21

Mgr Chevrot, Retraite Pascale sur l'enfant prodigue


Retraite Pascale sur l'enfant prodigue 1

Retraite Pascale sur l'enfant prodigue 2

Retraite Pascale sur l'enfant prodigue 3

Veilleurs dans la nuit, film sur l'abbaye sainte-Madeleine du Barroux

Veilleurs dans la nuit

RP Barthélemy, l'Apocalypse

RP Barthélemy, l'Apocalypse

RP Barthélemy, l'Apocalypse, Symboles

RP Barthélemy; Excursus sur le Dragon à travers la Bible

Excursus sur le Dragon à travers la Bible

RP Barthélemy, La vision béatifique

RP Barthélemy, La vision béatifique

vendredi 7 novembre 2014

Le gender et le rejet de la loi naturelle


Les hommes qui ont marqué l'histoire de la France


Les femmes qui ont marqué l'Histoire de france par la Famille missionaire de Notre-Dame


Abbé R.Laurentin, La consécration à Dieu par Marie

La consécration à Dieu par Marie

Mgr Chevrot, Homélies sur le Pater

Homélie sur le Pater 1
Homélie sur le Pater 2

Messe pour la vénérabilité de de Rosalie Cadron Jetté


Vénérable Rosalie Cadron-Jetté - Sa Cause de canonisation (3/3)


Vénérable Rosalie Cadron Jetté 2/3


Vénérable Rosalie Cadron Jetté 1/3

 

Le père Jacques Sevin et le scoutisme

 


Le Vénérable Solanus Casey, 1870-1957

Le Vénérable Solanus Casey, 
1870-1957
Le Père Solanus Casey, de l'Ordre des Frères Mineurs Capucins, naquit dans une ferme du Wisconsin (Etats Unis),  le 25 novembre 1870. De descendance irlandaise, il reçut au Baptême le prénom de Bernard. Etant le 6e d'une famille de 10 garçons et de 6 filles. En quête de travail, il laissa la ferme paternelle pour parcourir les états du Wisconsin et du Minessota, y travaillant comme bûcheron, aide dans un hôpital, opérateur de tramways et garde de prison. A l'âge de 21 ans, il fut admis au Séminaire Saint François de Milwaukee pour y devenir Prêtre. 5 ans plus tard, Bernard décida de rejoindre la grande famille de Saint François et fut admis dans l'Ordre des Frères Mineurs Capucins de Détroit, y recevant à la vêture le nom de Solanus. Ordonné en 1904, il servit pendant 20 ans dans les quartiers new-yorkais de Harlem et du Yonkers. De là, il fut envoyé au Monastère Saint Bonaventure de Détroit, y oeuvrant jusqu'en 1945; de retour à New York, il s'y dévoua une autre année. En 1946, il fut assigné à Huntington, dans l'Indiana, y travailla 10 autres années, retournant en 1956 au Monastère Saint Bonaventure pour y rester définitivement. La vie du Père Solanus fut une suite ininterrompue de dévouement auprès de milliers d'âmes se présentant au monastère pour quelques aides que ce soit, morale ou spirituelle. Plusieurs de ses protégés furent gratifiés de faveurs obtenues par l'intercession de ses prières et de sa vie pénitente. Il avait un grand amour pour le Seigneur et les âmes, étant à l'écoute de de toutes détresses, se présentant à la porte du monastère, de jour ou de nuit, pour quelque aide que ce soit. En retour, il demandait d'aimer et d'aider les missionnaires et leurs missions. Au cours de sa dernière maladie, il nota dans son journal ces quelques réflexions sur l'état de son âme: "J'offre mes souffrances pour que nous soyons tous frères dans le Christ. Si seulement je pouvais voir le monde entier se convertir." Aux derniers instants de sa vie, pleinement conscient de ses actes, il s'assit sur son lit et s'esclama: "Jésus-Christ, entre tes mains, je remets mon âme." Il s'éteignit le 31 juillet 1957 à Détroit, à l'âge de 86 ans, et fut inhumé au Monastère Saint Bonaventure, où sa tombe est objet de pèlerinages.

Prière pour obtenir la glorification du Vénérable Solanus Casey

Je Vous adore mon Dieu et je me donne entièrement à Vous. Faites que j'accomplisse Votre Volonté pour Votre plus grande Gloire. Merci mon Dieu, d'avoir comblé Votre serviteur le Vénérable Solanus Casey de tant de mérites. Daignez le glorifier sur la terre, et qu'à son exemple, des apôtres surgissent pour continuer son oeuvre de dévouement et d'amour auprès des plus pauvres, des délaissés et des miséreux de ce monde. Par Jésus, le Christ, notre Seigneur. Amen.

Imprimatur
John Cardinal, Archevêque de Détroit, le 27 août 1979


Site de la Postulation du Père Casey
(site en anglais, quelques rares pages en français, hélas!)

Centre Solanus Casey
Site du couvent ou repose le Vénérable Solanus Casey (site en Anglais)

Document en PDF, a télécharger, en cliquant sur le lien suivant:

 

Frère André, apôtre de saint Joseph


Josefa Menendes, un appel à l'Amour


Catéchèse de mgr Lépine, la Création


Catéchèse de mgr Lépine, Jésus-Christ


Catéchèse de mgr Lépine:le péché originel


Catéchèse de mgr Christian Lépine-Montréal sur Marie


La bienheureuse Chiara Luce Badano


La bienheureuse Marie-Céline de la Présentation


Abbé Philippe Rolland, Alfred Loisy et le modernisme

Loisy et le modernisme

Abbé Jean Carmignac, Origine des Évangiles

Origine des Évangiles

La Deuxième lettre aux Corinthiens

Deuxième lettre aux Corinthiens

Mgr Cattenoz, L’Évangile de saint Marc

L’Évangile de saint Marc, 1/3
L’Évangile de saint Marc, 2/3
L’Évangile de saint Marc 3/3